Quand est-ce que je dois me protéger ?

Identifier et bien naviguer les différentes types de relations

Parfois dans ses relations, on se sent mal à l’aise.  On n’arrive pas forcément à dire ce qui ne va pas, mais on sait que quelque chose ne va pas.  Une relation toxique, c’est comme un cactus : si on s’y approche trop, ça pique !

Dans cet article, je vais vous parler de trois types de relations qui piquent un peu, beaucoup, trop… et comment vous protéger.

Passer un Noël agréable

Le premier type de relation, c’est une relation décevante. Parce que j’ai des attentes parfois irréalistes, parce que j’idéalise la relation, tôt ou tard je vais être déçu.  Le buzz initial s’évapore et je suis face à la réalité : l’autre est humain, avec tous ses défauts.  Et moi aussi.

S’il n’y a pas de comportements inacceptables ou toxiques, je me pose la question de comment/si je souhaite cheminer avec cette personne.  Pas besoin de mesures draconiennes, mais poser quelques limites. Comment m’adapter pour être ensemble ?  Jusqu’où je peux aller dans cette relation ?

  1. Le deuxième type de relation, c’est une relation dite « difficile ».  En plus d’être décevante, ce type de relation va me demander plus d’énergie.  

    Peut-être que l’autre est immature, égocentrique, intense, imprévisible, ce qui est déstabilisant pour moi. 

    Peut-être que ses attentes sont déraisonnables, qu’il ne m’écoute pas, ce qui me donne l’impression de ne pas compter.

    Peut-être qu’il est dépressif, anxieux, narcissique, négatif ou paranoïaque et être avec lui me pompe ou sollicite trop de ressources.

    En tout cas, dans les relations difficiles, je dois faire attention à ne pas donner plus que l’autre me donne.  C’est 50-50 !  Pour cela, je vais mettre en place des limites pour préserver mon temps, mon énergie, ma gentillesse, mon amitié, mes dons, quitte à les adapter si je constate du changement positif ou négatif. 

  2. Le deuxième type de relation, c’est une relation dite « difficile ».  En plus d’être décevante, ce type de relation va me demander plus d’énergie. 
    Peut-être que l’autre est immature, égocentrique, intense, imprévisible, ce qui est déstabilisant pour moi. 

    Peut-être que ses attentes sont déraisonnables, qu’il ne m’écoute pas, ce qui me donne l’impression de ne pas compter.

    Peut-être qu’il est dépressif, anxieux, narcissique, négatif ou paranoïaque et être avec lui me pompe ou sollicite trop de ressources.

    En tout cas, dans les relations difficiles, je dois faire attention à ne pas donner plus que l’autre me donne.  C’est 50-50 !  Pour cela, je vais mettre en place des limites pour préserver mon temps, mon énergie, ma gentillesse, mon amitié, mes dons, quitte à les adapter si je constate du changement positif ou négatif. 

  3. Et puis, il y a le troisième type de relation : une relation destructrice.  Comme indique le terme, c’est une relation où « je » ne peux pas exister, être bien ou grandir.  L’autre qui est toxique a l’intention de profiter de mon insouciance et de ma gentillesse pour me dominer, me nuire et me détruire à petit feu.  

Par des petites piques répétées, des humiliations, des mensonges, la manipulation, le harcèlement, les insultes, menaces ou violences physiques, l’autre va chercher à me dominer, me contraindre à faire des choses que je ne souhaite pas faire.  Il va semer la confusion et le doute, me culpabiliser et il attaque mon être.  Petit à petit j’ai l’impression de perdre pied et j’ai peur.

Si vous restez dans ce type de relation, cela finira par vous détruire : vous perdrez votre identité, votre estime de vous-même, votre santé, et votre temps.  Il est donc nécessaire d’identifier au plus vite ce type de relation et d’en parler à une personne de confiance qui pourrait vous aider à vous en sortir.

Ne restez pas seul.

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